
Before continuing, I must make clear that I am not out to ‘bash’ all of the well meaning and dedicated reflexologists out there.
My aim is to reveal the trajectory that reflexology has made since the time of Eunice Ingham until today. It is from this that the essence of what was known as reflexology has indeed become diluted.
I have the value of hind-sight due to the length of time I have been involved with reflexology and through my long association with the Ingham ‘family’. It is because of this that I am able to relate the difference between reflexology then and now.
The primary purpose of reflexology is to detect and ‘work out’ relevant reflexes. The techniques which were developed by Ingham for this purpose, are identified as the classical techniques, which is the default ‘walking’ type of contact popular today. This forms (or should form) the foundation of reflexology.
However, it is here that the first dilution of reflexology occurs - The classical (walking) techniques cannot be used in conjunction with any type of lubrication. Somehow the use of combining the classical techniques of reflexology with a lubricant has become commonplace. It has changed reflexology into something akin to a shuffling thumb, type of foot massage, which is not the reflexology I was weaned on! There are specific techniques (such as those of A.R.T.) which are designed to be used in conjunction with lubrication, should it be needed, but, I repeat, never with the classical techniques!
What is the identification of reflexology today?
Today, the general aim of a reflexology treatment is to relax the client, indeed this is the way that the therapy is now accepted. I admit, that having someone apply a lubricant to the feet and give a light massage with the perambulation of fingers and thumbs is relaxing — however, it is not reflexology!
What was the original purpose of reflexology?
The original purpose of reflexology is readily understood by paraphrasing Eunice Ingham’s ‘Find a sore spot and work it out” mantra.
This was the way that we were all taught in those days — to find a sore spot (disturbed reflex) and work it out using the classical techniques (without lubrication).
This process may not have been particularly relaxing to the client at the time. The remit was to apply specific contacts in a positive way and focusing on the disturbed reflexes for sometime minutes — not just a fleeting wisp from an oil-infused thumb. The aim of each treatment was about its therapeutic benefits and not relaxation. The sensation experienced by the client was one of a ‘good or sweet pain’.
In fact, this is what clients expected and paid for in those days, many experiencing therapeutic benefit and relief from even long-standing ailments very quickly. We must have been doing something right, as we were booked weeks in advance for this type of treatment. I can remember working from 9am through to 9pm on my London clinic days.
There is a great and largely untapped potential for this original approach to reflexology — it only needs a change to the concepts of reflexology and to the way treatments are given.
What is the problem with using lubrication with the classical techniques?
The aim of effective reflexology is to be able to detect and then apply appropriate contacts to the disturbed reflexes. This will not be possible on feet that are swathed with lubricant, particularly on the dorsal areas of the feet where the finger tips are used to detect and contact the reflexes — the reflex applications here are such that they demand a dry lubricant-free surface to be effective.
This is the reason why I divide treatment sessions into two phases.
Phase 1 & Phase 2 . I shall explain the reason and value of this in this in my next blog.
Best Wishes
Tony Porter
LA DILUTION DE LA RÉFLEXOLOGIE Première partie

Avant de continuer, je dois préciser que je ne cherche pas à dénigrer » la pratique de tous les réflexologues bien intentionnés et dévoués qui exercent.
Mon but est de révéler la trajectoire qu'a suivie la réflexologie depuis l'époque d'Eunice Ingham jusqu'à aujourd'hui. C'est à partir de là que l'essence de ce que l'on appelait la réflexologie s'est en effet diluée.
J'ai la légitimité d'un regard rétrospectif en raison ma longue pratique en réflexologie et de ma longue(cancel) association avec la "famille" Ingham. C'est pour cette raison que je suis en mesure de faire la différence entre la réflexologie d'alors et celle d'aujourd'hui.
L'objectif premier de la réflexologie est de détecter et de "travailler" les réflexes pertinents. Les techniques développées par Ingham dans ce but sont identifiées comme des techniques classiques, et connues comme étant « la technique de reptation, populaire aujourd'hui. Ceci constitue (ou devrait constituer) le fondement de la réflexologie.
C'est ici que l'on trouve la première dilution de la réflexologie. Les techniques classiques (de reptation) ne peuvent être utilisées en conjonction avec aucun type de lubrification. D'une certaine manière, l'utilisation de la combinaison des techniques classiques de réflexologie avec un lubrifiant est devenue courante. Cela a transformé la réflexologie en quelque chose qui ressemble à un pouce traînant, un type de massage des pieds, qui n'est pas la réflexologie dont j'ai été sevré ! Il existe des techniques spécifiques (comme celles de l'A.R.T.) qui sont conçues pour être utilisées en conjonction avec la lubrification en cas de besoin, mais, je le répète, jamais avec les techniques classiques !
Quel est l'objectif d'un traitement de réflexologie ?
Aujourd'hui, le but d'un traitement de réflexologie est de détendre le client, c'est d'ailleurs la façon dont la thérapie est maintenant acceptée. J'admets que le fait de faire appliquer un lubrifiant sur les pieds et de donner un léger massage avec le glissement des doigts et des pouces est relaxant - ce qu'un enfant pourrait faire, mais ce n'est pas de la réflexologie !
Quel était le but initial de la réflexologie ?
Le but initial de la réflexologie est facile à comprendre en paraphrasant le mantra d'Eunice Ingham "Trouvez un point sensible et travaillez-le".
C'est ainsi qu'on nous enseignait à l'époque : trouver un point sensible (réflexe perturbé) et le traiter en utilisant les techniques classiques (sans lubrification).
Ce processus n'a peut-être pas été particulièrement relaxant pour le client à l'époque. Il s'agissait d'appliquer des contacts spécifiques de manière positive et de se concentrer sur les réflexes perturbés pendant quelques minutes - et non pas seulement l’effleurage rapide d’un pouce huilé. L'objectif de chaque traitement était d'obtenir des bienfaits thérapeutiques et non de (cancel) relaxer. La sensation ressentie par le client était celle d'une "bonne ou douce douleur".
En fait, c'est ce que les clients attendaient et payaient à l'époque, beaucoup d'entre eux ressentant très rapidement un bénéfice thérapeutique et un soulagement de leurs maux, même anciens. Nous devions faire quelque chose de bien, car les séances étaient réservées des semaines à l'avance pour ce type de traitement. Je me souviens avoir travaillé de 9h à 21h lorsque j’exerçais dans mon cabinet londonien. Il existe un potentiel important et largement inexploité pour cette approche originale de la réflexologie - il suffit de changer l'orientation dans la manière dont les traitements sont administrés.
Quel est le problème de l'utilisation de la lubrification avec les techniques classiques ?
L'objectif d'une réflexologie efficace est de pouvoir détecter les réflexes perturbés et ensuite appliquer les contacts appropriés Cela n’est pas possible sur les pieds enduits de lubrifiant, en particulier sur les zones dorsales des pieds où les bouts des doigts sont utilisés pour détecter et contacter les réflexes - les applications réflexes sont telles ici qu'elles exigent une surface sèche sans lubrifiant pour être efficaces.
C'est la raison pour laquelle les séances de traitement doivent être divisées en deux phases.
Phase 1 & Phase 2 Je vous expliquerai cela dans mon prochain blog.
Pour obtenir des informations sur les séminaires A.R.T. en France, veuillez contacter
Sophie BOSC Tél: 06 31 57 10 49 or s.bosc262@orange .fr;
(Traduit de l’anglais e français par deepL.)
Meilleurs vœux
Tony Porter